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En sécurité dans ses bras

J’étais assise aux côtés de ma fille dans la salle de réveil. Quand ses yeux se sont ouverts, elle a ressenti de la douleur et s’est mise à pleurer. J’ai tenté de la rassurer en lui caressant le bras, mais en vain. Grâce à l’aide d’une infirmière, je l’ai prise sur mes genoux. J’ai essuyé ses larmes et lui ai rappelé qu’à la longue, elle se sentirait mieux.

Accompagner

Lorsqu’un cancer du sein a été diagnostiqué chez ma soeur Carole, notre famille s’est inquiétée pour elle. Ce diagnostic, avec l’opération et les traitements associés, nous a amenés à craindre pour le bien‑être de Carole et nous a poussés à prier pour elle. Au cours des mois qui ont suivi, Carole nous a tenus au courant des défis qu’elle avait à surmonter en toute honnêteté. Nous avons néanmoins tous célébré l’annonce de la réussite de l’opération et des traitements. Carole avait amorcé sa convalescence !

Le réconfort de Dieu

Je souhaite parfois que la vie se déroule comme dans un épisode du Dr House. C’est une série télévisée dramatique dont le personnage principal est à la fois égocentrique et un génie de la médecine (Dr Gregory House) qui traite des maladies susceptibles d’être fatales.

De piètres consolateurs

Je garde souvent le silence lorsque j’assiste à des funérailles ou lors d’une visite à l’hôpital. Dès que j’ouvre la bouche, je crains de discourir comme les amis de Job. Ils apportaient plus de réconfort lorsqu’ils se taisaient que lorsqu’ils parlaient (Job 2.11-13). Leurs conseils et leurs encouragements correspondaient exactement à ce que j’aurais pu dire. Ils ont fait valoir leurs points de vue avec tant d’acharnement et leurs arguments semblaient si pieux que cela a amené Philip Yancey à commenter : « Si on avait seulement Job 3 – 37, on en déduirait qu’ils sont les vrais héros du livre. » Mais Dieu était en colère contre eux (42.7).

UN APPEL À LA CONSOLATION

Dans leur livre intitulé Dear Mrs. Kennedy (Chère Madame Kennedy), Jay Mulvaney et Paul De Angelis indiquent qu’au cours des semaines qui ont suivi l’assassinat du président John Kennedy, sa veuve, Jacqueline, a reçu près d’un million de lettres des quatre coins du monde. Certaines venaient de chefs d’État, de célébrités et d’amis intimes. D’autres venaient de gens ordinaires les ayant adressées à « Madame Kennedy, Washington » et à « Madame la présidente, Amérique ». Tous lui écrivaient pour lui exprimer leur chagrin et leur sympathie en raison de son grand deuil.

LE DON DE LA PRÉSENCE

Il y a plusieurs années, lorsque j’étais le nouveau directeur des ressources d’une entreprise, j’ai assisté aux funérailles d’un employé de longue date dont je n’avais jamais fait la connaissance. Tous ses compagnons de travail aimaient ce maçon, mais très peu d’entre eux sont venus voir sa veuve. J’ai écouté quelqu’un essayer de la consoler en lui disant que beaucoup de gens préféraient s’abstenir de venir par peur de dire ou de faire la mauvaise chose et de risquer d’aggraver ainsi le chagrin de la famille endeuillée.

DONNER AU SUIVANT

J’ai remarqué au fil des ans que ceux qui ont souffert sont les premiers à consoler ceux qui souffrent. Lorsqu’un jeune couple perd un enfant, un autre couple ayant subi la même épreuve lui offre son aide. Si un couple perd son revenu principal, un autre vient presque immédiatement lui offrir son assistance, se rappelant certaines années de vaches maigres. On voit souvent les membres du corps de Christ se soutenir et s’encourager les uns les autres. Ces chrétiens ont appris qu’ils peuvent se servir des épreuves qu’ils ont traversées pour venir en aide à ceux qui éprouvent des difficultés similaires.

CONSOLÉ MÊME EN CAPTIVITÉ

Le 10 février 1675, 50 familles de colons à Lancaster, au Massachusetts, ont redouté d’être attaquées par des Amérindiens. Joseph Rowlandson, le pasteur puritain du village, se trouvait à Boston en train de supplier le gouvernement de protéger Lancaster, alors que Mary, sa femme, restait derrière avec leurs enfants. Au lever du soleil, les colons se sont fait attaquer. Après que quelques-uns d’entre eux ont été tués, Mary et d’autres survivants ont été emmenés en captivité.

TOUJOURS

Les mots toujours et jamais me plaisent énormément. Ils procurent tellement d’espoir ! J’aimerais croire que je pourrai toujours être heureux et que la vie ne me décevra jamais . Cependant, la réalité m’indique que je ne serai pas toujours heureux et que les choses que j’espère ne jamais voir se produire risquent justement d’arriver. Si agréables ces mots puissent-ils sembler, ils ont du mal à être à la hauteur de leur potentiel, à moins que vous ne pensiez à la promesse de la présence de Jésus.

LORSQUE LE VENT SOUFFLE

Harold, Cathy et leurs deux fils se trouvaient dans un endroit boisé du Minnesota quand une tornade a touché terre. Cathy m’a décrit cette expérience après plusieurs années :